lguignard.naturopathe@gmail.com


Observer et suivre son cycle : le guide complet

Connaitre les signes clés à observer sur son cycle : saignement, perte de mucus cervical, durée, etc.

Saviez-vous que l’ovulation, et non les règles, est le moment central du cycle féminin ? Cette étape essentielle est bien plus qu’un simple indicateur de fertilité. L’ovulation est un véritable reflet de la santé hormonale globale. Apprendre à observer et suivre son cycle permet non seulement de mieux se connaître, mais aussi de détecter d’éventuels déséquilibres et d’agir en conséquence. Que vous soyez à Lyon ou ailleurs, ce guide s’adresse à toutes les femmes désireuses de mieux comprendre leur corps, que ce soit pour anticiper les différentes phases du cycle, concevoir un enfant, ou simplement vivre en harmonie avec leur nature cyclique.

🔎​ Pourquoi apprendre à observer son cycle ?

🧍‍♀️​ Mieux connaître son corps

Observer son cycle est une pratique précieuse pour décoder les signaux que votre corps vous envoie : variations hormonales, qualité du sommeil, énergie, et même changements émotionnels. Comprendre votre nature cyclique vous permet d’identifier vos forces et vulnérabilités tout au long du mois.

🤸‍♀️​ Identifier ses périodes fertiles et infertiles

Certaines méthodes d’observation permettent de repérer avec précision les périodes fertiles et infertiles. Cependant, si vous envisagez d’utiliser une méthode d’observation du cycle pour éviter une grossesse, il est indispensable de vous former auprès d’un professionnel compétent.

🤰​ Faciliter la conception

Pour les couples en parcours de fertilité, suivre le cycle permet d’identifier les jours les plus propices à la conception, augmentant ainsi les chances tout en réduisant le stress lié aux essais infructueux.

💬​ Quelles sont les différentes méthodes d’observation du cycle ?

📑​ Présentation des méthodes

Si vous vous êtes déjà penché sur le sujet de l’observation et du suivi du cycle, vous avez sans doute déjà croisé différentes méthodes dans vraiment comprendre sur quelles données elles reposent, si elles sont fiables et s’il est facile de les intégrer dans son quotidien. Ci-dessous, les principales méthodes pour observer son cycle.

👉​ Ogino Knaus

Cette méthode repose sur le calcul des jours fertiles en fonction de la durée moyenne des cycles passés. On déduit les jours fertiles en soustrayant 18 jours au cycle le plus court et 11 jours au cycle le plus long. Bien que simple, cette méthode est peu fiable, notamment pour les cycles irréguliers ou dans les périodes de transition hormonale (adolescence, arrêt de la pilule, etc.).

Cette méthode repose donc sur des statistiques et même si ces données sont intéressantes à connaitre, elles ne sont pas suffisamment fiables.

👉​ Symptothermie

La méthode Sensiplan® est une méthode symptothermique qui combine plusieurs paramètres pour déterminer les phases fertiles et infertiles. Elle repose sur l’observation du mucus cervical, la mesure de la température basale et éventuellement d’autres symptômes comme la position du col de l’utérus.

En pratique, la femme doit remplir quotidiennement un tableau d’observation. La difficulté de cette approche repose sur la prise de sa température tous les matins à son réveil.

👉​ Billings

La méthode d’ovulation Billings® repose uniquement sur l’observation et l’interprétation du mucus cervical. Elle identifie les jours fertiles en fonction de la sensation au niveau de la vulve (humide, glissante) et de l’aspect du mucus cervical (transparent, filant).

👉​ Creighton

La méthode Creighton est une adaptation médicale de la méthode d’ovulation Billings®, utilisée notamment dans les parcours de fertilité. Elle repose sur une observation très détaillée du mucus cervical, enregistrée à l’aide d’un code standardisé. Elle est souvent utilisée pour diagnostiquer des troubles hormonaux ou identifier des problèmes de fertilité. Cette approche est plus connue sous les noms : Fertility Care (méthode d’observation, très proche de la méthode d’ovulation Billings®) et NaProTechnologie (science de la reproduction et de la fertilité).

En pratique, la femme va devoir communiquer des observations précises concernant son mucus cervical.

🗃️ La comparaison des méthodes d’observation du cycle

Quels sont les avantages et les inconvénients des différentes méthodes pour observer son cycle ?

MéthodeAvantagesInconvénientsIndice de fiabilité (utilisation correcte)
Ogino-KnausSimple, ne nécessite aucune observation physique.Peu fiable. Surtout pour les cycles irréguliers ou les périodes de transition hormonale comme l’adolescence, l’arrêt de la pilule, la pré-ménopause…75-80%
SensiplanTrès fiable, convient aussi bien à la conception qu’à la contraception. Observation combinée de la température et du mucus donne davantage de précision.Demande de la rigueur et un apprentissage. Peut-être complexe à mettre en place. Nécessite un thermomètre à double décimal et une prise quotidienne de la température. A noter que la température ne renseigne pas sur la rentrée en phase de fertilité (qui a lieu avant l’ovulation)98-99%
BillingsLa méthode est naturelle et ne nécessite pas la prise de la température. Elle est facilement accessible et simple à mettre en place après formation.Moins fiable si la formation est insuffisante ou si les sécrétions vaginales sont perturbées (stress, infections…)93-97%
CreightonAdaptée aux couples en parcours de fertilité ou ayant des troubles hormonaux. Formation souvent coûteuse et demande un suivi strict et un apprentissage approfondi.96-99%

🩸​ Comment savoir si mes saignements sont anormaux ?

📅​ Quels sont les types de saignements physiologiques ?

Comment repérer les saignements normaux ? Connaitre les 4 types de saignements physiologiques pour comprendre si un saignement est normal ou non.
Reproduction interdite sans autorisation.

Ces différents types de saignements sont « normaux » et sont liés aux fluctuations hormonales :

  • Règles : Correspondent aux menstruations. Le flux est rouge vif, sa durée est de 3 à 7 jours, il peut contenir des « débris » (petits morceaux). Le saignement commence et se termine de façon franche.
  • Spotting pré-ovulatoire : Léger et transitoire, ce saignement « spotting » est une tache de sang qui peut être brune ou rosée. Ce saignement peut être lié à une poussée oestrogénique : la montée brutale des oestrogènes qui a lieu juste avant l’ovulation. Le spotting peut également être présent avant l’arrivée des règles.
  • Privation : Le saignement de privation est un terme que les femmes entendent beaucoup et qui est associé à la prise de la pilule. Dans ce cadre-là, les règles sont « de fausses menstruations » et sont appelées « saignements de privation ». Le saignement de privation physiologique et hors prise de la pilule, correspond à une privation en oestrogène qui peut avoir lieu au début du cycle. Il peut y avoir une tentative d’ovulation, mais sans aboutissement.
  • Nidation : Ce saignement est lié à l’implantation de l’embryon et est possible 7 jours après l’ovulation. Il est possible que certaines femmes confondent leurs menstruations avec ce type de saignement.

Important : Au-delà de ces 4 cas, et en cas de doute, il est important de consulter votre médecin ou gynécologue si vous constatez des saignements qui vous semblent anormaux. Il peut être difficile aussi de différencier les menstruations par rapport à ces différents types de saignements.

😓​ Comment repérer des saignements anormaux ?

  • Flux trop abondant ou prolongé : changement de protection toutes les 1 à 2 heures, perte supérieure à 80ml, présence de gros caillots (plus de 2cm), règles qui durent plus de 7 jours.
  • Saignements intermenstruels fréquents : fréquence inhabituelle avec des saignements entre les cycles sans cause identifiable.
  • Couleur ou texture inhabituelle : caillots importants, pertes brunâtres odorantes, couleur rouge vif constant (hémorragique).
  • Douleur : si les douleurs pendant les menstruations ne cèdent pas aux antalgiques de palier 1 (AINS : anti-inflammatoire non stéroidien, type paracétamol)
  • Spotting : au-delà de 3 jours de spotting, s’interroger sur un déséquilibre entre les oestrogènes et la progestérone.

👌​ Comment savoir si mon cycle est normal ?

👩‍🦰​ S’interroger sur les périodes particulières

Dans différentes circonstances, la femme va observer des variantes en cas de syndrome pré-menstruel ou de pathologies spécifiques comme le SOPK et l’endométriose. Ce qu’il est important de prendre en compte aussi, c’est qu’au cours de sa vie, la femme peut aussi expérimenter des cycles irréguliers qui sont liés à une période de vie particulière;

  • Adolescence : Les cycles sont souvent irréguliers et les cycles ovulatoires fertiles vont mettre plusieurs mois / années à se mettre en place. Les règles peuvent être également douloureuses. A cette période la durée moyenne des cycles est de 31 à 62 jours et diminue au cours de la première année.
  • Arrêt de la pilule : La transition avec la reprise de l’activité ovarienne peut engendrer des cycles anormaux avec un mucus cervical absent ou faible. Le retour du cycle est impossible à prédire mais il doit être de retour au cours du 9ème cycle.
  • Péri-ménopause : A cette période les cycles sont irréguliers et liés aux fluctuations hormonales importantes. La cessation de l’activité ovarienne peut être précoce (avant 40 ans) ou tardive (après 55 ans). La pré-ménopause peut durer quelques mois à quelques années. Petit à petit les cycles se raccourcissent et les signes à observer sont liés à une hyperoestrogénie.
  • Allaitement : La date de retour des cycles est difficile à prédire. La fertilité peut revenir à partir de 6 semaines. Le retour des cycles variable selon l’intensité de l’allaitement : fréquence, utilisation d’un tir-lait, port du bébé, etc.

Parmi les autres facteurs qui influencent le cycle : le stress, les troubles émotionnels, une alimentation déséquilibrée, un mauvais sommeil ou un sport excessif sont également à considérer.

👩‍💻​ Sur quels chiffres je peux m’appuyer pour déterminer si mon cycle est normal ?

  • Durée moyenne du cycle : 21 à 35 jours. Un cycle court inférieur à 21-23 jours peut indiquer un manque de production d’oestrogènes. Un cycle supérieur à 35 jours peut indiquer une difficulté à ovuler ce qui peut être associé à une pathologie comme le SOPK.
  • Durée des règles : 3 à 7 jours. Des menstruations inférieures à 3 jours peuvent indiquer un climat hypo-oestrogénique et si elles sont supérieurs à 7 jours, un climat d’hyperoestrogénie.
  • Durée de la phase lutéale : 11 à 15 jours. Cette donnée est intéressant à connaitre pour vérifier si l’ovulation est de bonne qualité. La phase lutéale peut être déterminée via une méthode d’observation du cycle. Elle correspond à la période entre l’ovulation et l’arrivée des règles.

🟡​ Comment savoir si j’ovule ?

Les 5 biomarqueurs de l'ovulation sont la température, le mucus cervical, le gonflement vulvaire, le gonflement des ganglions lymphatiques, et la position du col de l'utérus
Reproduction interdite sans autorisation.

Voici les biomarqueurs qui indiquent la fertilité. Le suivi de ces paramètres permet d’identifier la phase fertile de votre cycle.

  • Mucus cervical : Le mucus est sous l’influence de la progestérone et de l’oestrogène. Il en existe 4 types qui jouent un rôle essentiel dans la vie reproductive. Lorsque la femme rentre dans sa période fertile, elle peut sentir un écoulement et observer un mucus cervical d’aspect clair et filant avec une texture proche du blanc d’œuf.
  • Température basale : Elle varie selon les différentes périodes du cycle. En phase pré-ovulatoire elle est d’environ 36°C, puis en phase péri-ovulatoire elle va légèrement s’abaisser. En post-ovulatoire, on observe un décalage thermique avec une hausse de 0,3°C par rapport au 10 jours précédents. A partir de là, on observe sur la courbe de la température, un plateau haut et stable.
  • Position col de l’utérus : Il varie au cours du cycle. En phase fertil, le col de l’utérus est court, haut, mou et ouvert.
  • Oedème vulvaire : En phase fertile, la vulve gonfle sous l’influence de la montée des oestrogènes.
  • Ganglion lymphatique : Au niveau du pli de l’aine, il est possible de sentir un gonflement lié à l’activation du système lymphathique et du côté de l’ovulation.

Autres signes : Gonflement de la vulve, sensibilité des seins, douleurs légères au niveau des ovaires.

📈​ Quelles sont les phases fertiles et infertiles de mon cycle ?

🗓️ Les 4 phases du cycle de la femme

Un rappel toujours utile avec les différentes phases du cycle. Il est important de noter que ces phases ne correspondent pas à ses périodes fertiles ou infertiles.

  1. Phase menstruelle : C’est le début du cycle avec l’arrivée des règles qui marque le 1er jour du cycle. Les taux d’oestrogènes et de progestérone sont bas ce qui provoque l’élimination de l’endomètre
  2. Phase folliculaire : C’est la préparation de l’ovule. L’hormone folliculo-stimulante (FSH) stimule le développement des follicules dans les ovaires. Un follicule va grossir plus que les autres, c’est lui qui va libérer l’ovule. Les œstrogènes augmentent, épaississant l’endomètre. C’est donc la période pré-ovulatoire.
  3. Ovulation : Le follicule va libérer un ovule, déclenchée par une montée brusque de l’hormone lutéinisante (LH). Sa durée de vie est de 12 à 24h.
  4. Phase lutéale : C’est la période post-ovulatoire. Ce qui reste du follicule s’appelle le corps jaune. Il sera responsable de la sécrétion de la progestérone. Si aucune fécondation n’a lieu, les niveaux hormonaux chutent, entraînant les règles.

⏳ Les phases fertiles et infertiles du cycle

Le moment de l’ovulation est souvent calculé comme intervenant entre 11 et 16 jours après le début des règles. Dans les faits, il est difficile de prévoir à chaque son ovulation car aucune femme n’est parfaitement régulière surtout en cas de stress, d’allaitement, de SOPK ou de ménopause. C’est pour cela qu’observer son cycle est un outil plus fiable que l’utilisation de simple calendrier.

Phase infertile pré-ovulatoire : Avant la montée des œstrogènes, le cycle est en période d’infertilité relative. L’ovulation peut parfois survenir plus tôt que prévu, y compris durant les règles d’où une prudence accrue en cas d’objectif contraceptif. La phase infertile est marquée par l’absence de changement. Sur cette période, la femme n’observe pas de changement dans son mucus cervical.

Phase fertile : Elle est marquée par un changement avec l’évolution de l’activité oestrogénique, le mucus cervical est de plus en plus marqué. La période de fertilité est de 5 à 7 jours. Elle commence avant l’ovulation. Durant cette période, les spermatozoïdes peuvent survivre plusieurs jours grâce à la glaire cervicale.

Environ 5 à 7 jours de fertilité (3 jours avant l’ovulation, 1 jour après).

Phase infertile post-ovulatoire : Après l’ovulation, sous l’effet de la progestérone, le mucus devient de nouveau épais et imperméable aux spermatozoïdes.

💧​ A quoi sert le mucus cervical ? Pourquoi j’ai des pertes blanches ?

Avoir des pertes à chacun de vos cycles, n’est pas forcément anormal ! C’est même un signe de bon fonctionnement du cycle. Le mucus ou glaire cervicale est un indicateur clé de la santé reproductive. Apprendre à observer son cycle c’est donc apprendre à observer sa glaire cervicale.

Les sécrétions vaginales peuvent être de plusieurs types et il est utile de savoir les différencier :

  • Mucus infertile ou « bouchon muqueux ». Il est obstruant, il ferme et protège le col de l’utérus. Il est géré par la progestérone.
  • Mucus fertile, il existe plusieurs types de mucus dont le rôle est de filtrer les spermatozoïdes de mauvaise qualité et de les préserver dans les cryptes du col de l’utérus. La sensation de glissement que ressentent les femmes lors de la période fertile est lié à la liquéfaction des mucus sous l’action des oestrogènes.
  • Sécrétions hydratantes : elles peuvent être observées en dehors de la période fertile et sont liés à la lubrification vaginale (lié à l’excitation et pour faciliter la pénétration).
  • Sécrétions liées à une pathologie comme les mycoses, vaginoses ou infections bactériennes par exemple. Dans ce cas-là, les signes qui doivent vous alerter sont les suivants : couleurs jaune ou verdâtre, odeur forte de poisson désagréable, consistance mousseuse ou caillé, démangeaisons, brûlures ou douleurs.

👁️​ Comment identifier les différentes phases du cycle via l’observation du mucus cervical ?

1️⃣​ Etape 1 : Apprendre à s’observer

Pour déterminer les phases de son cycle via le mucus cervical, il faut démarrer par l’observation de sa sensation. Celle-ci se fait assez simplement, au niveau de la vulve. Cette observation peut vraiment se faire à tout moment, en mouvement et dans son quotidien. La seule contrainte, c’est qu’elle doit se faire en position verticale (pour sentir des éventuels écoulements).

L’observation passe donc par la sensation mais aussi par l’aspect. Pour observer l’aspect de son mucus, plusieurs approches sont possibles :

  • Avec du papier toilette : En s’essuyant on peut observer l’aspect de la glaire. Plus le papier glisse, plus la sécrétion est fertile. Pour l’élasticité du mucus cervical : on peut plier le papier de toilette en deux et observer comment la glaire se comporte entre les 2 pans de papier.
  • Dans la culotte : Les pertes peuvent donner des indications sur la glaire cervicale.
  • Avec les doigts : Il est possible d’introduire un doigt propre, ongle coupé dans le vagin si tu es à l’aise avec cela, mais le ressenti et l’observation sur le papier toilette doivent être prépondérant.

​2️⃣​ Etape 2 : Noter ses sensations et l’aspect

Pour cela, on utilise des tableaux qui permettent de répertorier et d’analyser l’évolution de la sensation et de l’aspect du mucus cervical.

Aide pour définir la sensation :

  • Rien : Pas de sensation ni agréable ni désagréable
  • Sec : Sensation de tiraillements.
  • Humide : Pellicule d’humidité ressenti sur la vulve
  • Mouillée : Sensation comme si vous aviez vos règles
  • Glissant : Plus que mouillé, sensation de lubrification

Aide pour définir l’aspect :

  • Sang
  • Spotting (pertes marron)
  • Filant
  • Opaque
  • Transparent
  • Collant
  • Jaune
  • Blanc
  • Pâteux

3️⃣ ​Etape 3 : Analyser son tableau

En analysant votre tableau, vous allez pouvoir déterminer le jour sommet. C’est le jour où vous êtes le plus fertile et qui correspond au dernier jour glissant. Vous allez aussi pouvoir déterminer la durée de la phase lutéale, ce qui est indicateur précieux pour savoir si votre ovulation est de bonne qualité.

Exemple de tableau d’observation du cycle – Modèle disponible sur Notion

🏃‍♀️ Pour aller plus loin


Observer son cycle est une démarche intéressante pour mieux comprendre son corps et prendre soin de sa santé hormonale. En tant que naturopathe spécialisée à Lyon, si vous le souhaitez, je vous accompagne dans cette aventure, que ce soit pour réguler vos cycles, concevoir un enfant ou simplement apprendre à mieux vous connaitre. Je travaille également en visio-conférence.

Pour faciliter votre suivi du cycle, je mets à disposition un tableau d’observation du cycle entièrement personnalisable sous Notion. Cet outil vous aide à enregistrer vos observations et à visualiser vos phases fertiles et infertiles.

Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à réserver un appel découverte. C’est gratuit et cela vous permet d’en savoir plus sur la naturopathie et comment cette approche peut vous accompagner dans vos problématiques hormonales.

Sources :

OMS : Méthodes naturelles de régulation des naissances

Fertility Awareness Based Methods of Family Planning, Journal of Obstetrics and Gynecology

Research Gate : Study on cervical mucus and ovulation detection

I2F – Physiologie du cycle

Laure Guignard, Naturopathe à Lyon et Villeurbanne

Praticienne de santé naturopathe, je pratique en téléconsultation et à domicile sur Lyon ainsi que sur Villeurbanne. N’hésitez pas à prendre contact avec moi si vous avez des questions sur mes articles, la naturopathie ou si vous souhaitez prendre rendez-vous.